SéparationUn peu de lecture matinale pour philosopher avec le soleil levant.
Extrait de Sous la pluie par les Vilains Pingouins:

[...]
Et le temps qui passe, et le temps qui casse
Souvent c’qu’on essayait d’bâtir
Et le temps qui passe et le temps qui casse
Les illusions qui se laissent mourir

Et qui sommes-nous pour juger?
Oh! sous la pluie, on voit jamais son chemin
Oh! sous la pluie, on a peur du destin
Oh! dans la vie, on comprend jamais rien
Sauf qu’on a froid quand on est sous la pluie.

Qui sommes-nous pour juger de la vie des gens?
Quand elle s’approche et s’appuie doucement,
Je sens les reproches et je sens son tourment…
Et le temps qui passe, et le temps qui casse
Mais il faut vivre avec ses souvenirs
Et le temps qui passe, et le temps qui casse
Mais il faut arrêter d’se punir
[...]

Partager

Ah la belle neige dehors. Je suis sorti prendre une marche. À peine ai-je mis le pied dehors que je sentais cette odeur de neige. Une odeur fraîche et… DONNEZ-VOUS LE POUVOIR …et annonciatrice d’un temps des fêtes prochain. Le soleil se reflétait sur l’épaisse couche blanche et le bord des rues n’avaient pas encore atteintes cette couleur maugre que laissent les voitures après un… POUR ÉOLE QUÉBEC …après un certain temps.

Je passe par le Parc Dessaulles afin d’admirer les… L’ÉCONOMIE D’ABORD OUI …les arbres et le paysage. C’est que, il y a eu de la pluie verglaçante en plus de cette belle neige. Et les arbres en sont recouverts, comme s’ils étaient pétrifiés et incapables de se mouvoir. Une couche de …CLAUDE L’ÉCUYER… CLAUDE L’ÉCUYER… CLAUDE L’ÉCUYER… de glace sur chaque petite branche. Malgré que certains arbres ont l’air triste, leurs branches quelques… POUR DES SALAIRES DÉCENTS …peu affaissées par le poids du verglas, le décor n’en reste pas moins féérique et quelque peu surnaturel. Ah que c’est… POUR UN SYSTÈME DE SANTÉ PUBLIC …beau!

Je descend vers le… AMIR KHADIR …Marché Centre. Et je ne suis pas… ÉMILIEN PELLETIER …seul. Quelques valeureux piétons arpentent la rue Cascades. Peut-être sont-ils attirés par l’inextricable… RICHARD GINGRAS …odeur de sapin récemment coupés. Il y en a des dizaines, bien… L’ÉCONOMIE D’ABORD OUI …cordés ensemble, devant le Marché. Le rue elle même est empreinte de la magie de… PARTI VERT …Noël. Une rue décorées dans neige, c’est plutôt morne. Mais la rue que j’admire devant moi regorge de cet esprit… DONNEZ-VOUS LE POUVOIR …des fêtes.

En remontant la… CLAUDE L’ÉCUYER … Ah tiens, l’eau qui… L’ÉCONOMIE D’ABORD OUI … Au ciel, les oies se… POUR ÉOLE QUÉBEC …

Je… DONNEZ-VOUS LE POUVOIR…

Sur la… QUÉBEC SOLIDAIRE…

J’image toute la… CLAUDE L’ÉCUYER…

HEY!…. Les élections sont terminées!
Enlevez les foutues pancartes au PC!
On peut tu passer à autre chose cal####e!!?

… PARTI VERT…

Partager

L’an prochain, j’aurai l’âge du Christ.

33 ans.

Partager

“Le chemin est long du projet à la chose…”
Molière

Parce que pour mener à bien un projet, on a besoin de gens autour de nous qui nous font confiance et nous aident… voici 2 projets dont j’aimerais vous faire part.

Jeannot le Fou, documentaire
Synopsis: “À Saint-Hyacinthe, sur les berges de la rivière Yamaska, Jeannot Caron veut construire le premier « hôpital de l’amour », un lieu où quiconque pourrait recevoir, en tout temps, « soins, gîte, nourriture et câlins ». Les édiles municipaux, on s’en doute, ne sont pas d’accord et entament un bras de fer avec ce visionnaire entêté qui a tout abandonné pour vivre son rêve messianique. Jeannot « le fou » est loin de l’être et tente par tous les moyens d’atteindre son but. Le film de Francis Pinard et Benoit Thomassin dresse le portrait empathique d’un homme qui poursuit son idéal jusqu’à l’obsession et questionne une société incapable d’intégrer les citoyens qui ne rentrent pas dans le moule.

En production depuis plus d’un an, j’attendais impatiemment la sortie de ce documentaire. Si vous venez de St-Hyacinthe et vous ne connaissez pas Jeannot Caron, alors peut-être vivez-vous dans une tour d’ivoire loin de la misère et de la réalité quotidienne d’une partie de la population maskoutaine. Moi, avant même de voir ce film, je suis déjà certain qu’il sera plus qu’intéressant. Il soulèvera des réflexions profondes, et je n’ai pas de misère à croire que chacun pourra y trouver son compte.

Pour plus d’informations, il y a le site web officiel du film www.jeannotlefou.com ainsi que le groupe Facebook auquel je vous invite fortement à vous joindre www.facebook.com/event.php?eid=39755286093. Le film sera présenté en première maskoutaine au Centre des Arts Juliette Lassonde le vendredi 9 janvier à 20h. Billets disponibles sur le réseau Admission ou encore directement avec les créateurs du documentaire à jeannot.lefou@hotmail.com.

StH2008, CD compilation d’artistes de la relève maskoutaine
Près d’un an et demi pour mener à terme ce projet. Par mon travail, j’ai rencontré beaucoup d’artistes musicaux et autres. L’idée m’est venu un jour de réunir certains de ces artistes pour faire un CD compilation qui leur donnerait une visibilité supplémentaire pour se faire connaître et découvrir. J’ai donc amassé 10 artistes incluant Les Chiens Bleus, Enteka, Marco et Les Torvis, Mélanie Petit, Michel Dion, Michel Loiselle, Les Moines Hérétiques, Pascal Guertin, PhaseChange ainsi que Roman Zavada. Vous aurez donc droit à des tounes diversifiées qui vous feront découvrir la richesse et le talents des artistes de chez nous.

Seulement 300 exemplaires seront disponibles pour l’instant via moi-même (smumdax@hotmail.com), mais je compte éventuellement le faire rentrer chez Fréquences ainsi qu’au Marché du Disque. Dans un monde idéal, je le ferais bien rentrer chez Wal-Mart, mais comme c’est Toronto qui gère tout, et que Toronto c’est fédéral… on le sait tous que la culture, le fédéral, y’en a rien à cirer. Oups, désolé…

Le CD est au coût de 5$. Avec 10 tounes dessus, ça ne vous fait que 50¢ chaque. C’est moins cher que iTunes et une excellente façon de découvrir et encourager notre relève en région! Je dois bien sûr remercier le Conseil de la Culture de St-Hyacinthe, les Entreprises de Transport Jean Bélisle (450 796-1636), le Zaricot, le Dooly’s ainsi que Hop Design pour leur appui. J’espère être en mesure de m’investir pour un 2e CD compilation l’an prochain, car il y a suffisamment de talents à St-Hyacinthe pour ça!

Partager

Aujourd’hui, pour aider un ami qui avait des questions sur un logiciel que je n’avais dans mon ordinateur, j’ai installé le-dit logiciel. Maintenant que les questions sont répondues, je n’ai plus besoin du programme sur ma machine, alors je procède à sa désinstallation. Mais avez-vous remarqué à quel point parfois la désinstallation d’un programme ne semble jamais convaincue que c’est ça que vous voulez vraiment faire? Je m’explique.

Pour désinstaller, comme il n’y a pas de petit icône de désinstallation de fourni, je dois aller dans Ajout/Supression de Programmes. Et là dans la liste, je trouve mon programme, et je click dessus. Un bouton apparait: “Désinstaller”. Comme évidemment c’est ça que je souhaite faire, je click dessus.

Une fenêtre apparait: “Ceci désinstallera le programme. Souhaitez-vous continuez?
Bien sûr.

La désinstallation débute et roule pendant quelques secondes, puis une autre question apparait: “Souhaitez-vous désinstaller toutes les composantes du programmes?
Hum… et bien…. oui.

La désinstallation redémarre, mais très rapidement une autre question me trou le cul: “Souhaitez-vous supprimer la configuration et les préférences du programmes? Si vous appuyez sur Oui, toutes les préférences du logiciel seront supprimées.
Té pas sérieux… ouf, tu m’en demandes là… tantôt j’ai dit oui pour toute enlever, mais là ouf… Disons… oui?

La désinstallation continue encore… Mais même après 4 réponses comme quoi je voulais vraiment désinstaller le programme, juste AU CAS où tu serais encore pas certain, y’a quand même un bouton “Annuler” qui traîne dans le bas de la fenêtre… tout d’un coup que tsé, tu te serais trompé.

Partager

Audrey aura un petit minou la semaine prochaine… Il sera tout petit, tout mignon, tout cute. Mais ça m’a pas empêcher de penser au traumatisme que ce pauvre petit minou devra subir:

Audrey: Oh que tu es mignon mon petit minou. Té tout cute. Beau petit minou, tout cute, tout cute. Flatte, flatte, bécos, bécos.

Minou ronronnne: Prrrrrr… prrrrrr….. prrrrrrr

Audrey: Viens icite, m’a te faire vaccinner!

Minou se fait piquer: meoowwwwww!!!!!

Audrey reprend son minou: Oh, pauvre ti minou. ça fait pu mal là. Yé parti le bobo hein? Viens, je vais te flatter. Té tout mignon, petit minou. Cute cute cute. Bécos, bécos.

Minou: prrrrrrr…. prrrrrr… prrrrrr.

Audrey: Vient icitte que j’te coupe les griffes!!!

Minou: meeeoooowwww!!!!!

Audrey reprend son minou: Oh, cé fini là, tout va bien. Pauvre ti minou y’a eu des ti bobos? Cé fini, té tout cute, flatte, flatte, flatte. Bécos bécos.

Minou: prrrrrrr…prrrrrrrrrr…. prrrrrrrrrrr

Audrey: Viens icite que j’te coupe les couilles!!!!!

Minou: MEEEOOWWWW WTF!??!

Partager

Vers minuit et demi, j’ai eu une petite faim. J’ai ouvert mon frigidaire, et j’ai pris un pot de yogourt à la vanille. J’ai ensuite ouvert mon tiroir car c’est là que j’y range mes ustensiles. Je n’avais plus de petite cuillère de propre, alors j’ai pris une grosse cuillère.

Y’a de ces journées où tout va de travers, j’vous jure là…

Partager

Entendu aux Pétroles Maska, cette nuit vers 3h du matin:

Client demande à la caissière: Salut. Sans t’acheter de bière, je peux tu t’échanger une bière chaude contre une bière froide?

Slobway…
J’aime manger du Subway. J’aime la bouffe. Mais au Subway, l’expérience service à la clientèle n’est pas toujours la meilleure en ville. Je suis allé me chercher un sous-marin au Subway ce soir. Et l’expérience fût assez éprouvante pour se mériter un petit blog…

D’abord et avant tout, je me suis fait dire “Bonsoir”. Ça ne serait pas un commentaire négatif, n’était-ce du fait que j’étais encore dans l’entrée, très loin du comptoir. Mais c’est pire au Kentucky, où certaines filles s’empressent de demander “C’est pour ici ou pour emporter” alors que tu as à peine le pied dans le resto…

Bon, alors comme j’avais un peu la tête ailleurs, je n’étais pas concentré sur ma commande, et donc la fille me posa les questions habituelles. Le type de pain, la longueur, extra bacon & fromage (hum non, ça elle ne me l’a pas demandé).

Je prend un sous-marin au jambon forêt noire, le spécial du jour. Je le prend en 12 pouces. Là elle s’empresse de me dire que le spécial ne s’applique pas sur les 12 pouces… Ah bon? Mais qu’est-ce que ça peut faire, donne moi deux 6 pouces… c’est juste une question de formulation. Là, elle me dit que si je prend un 12 pouces, ça coûte moins cher que deux 6 pouces dans le spécial. Méchant spécial, considérant que c’est la “même affaire”.

Elle monte mon sous-marin. Elle ajoute le fromage, et me demande si je le veux grillé. Oui, bien sûr. Pendant ce temps là, je regarde le menu et je cherche le jambon forêt noire. Je ne le vois pas, alors je demande yé où le prix du forêt noire. La commis me répond que c’est le prix du sous-marin au jambon, que y’a pas d’autre sorte de jambon. Ah bon… Pourquoi ils précisent forêt noire alors? Ou plutôt… pourquoi ils ne précisent pas sur le menu que c’est forêt noire?

Je réalise que j’ai oublié de demander le fromage suisse. Résultat: mon sous-marin grillé sort du four avec le cheddar bien bronzé. Alors je demande à la commis (patiente la fille) quel fromage elle a mit dedans. Évidemment, et je le savais bien, c’est du cheddar.

Stubway…
Voyez-vous… aux Subway de St-Hyacinthe, ceux tenu par le même propriétaire, M. André Dupont, les gérants ont été informés de ne pas offrir le choix du fromage suisse, cheddar ou monterey jack (ben oui, y’en a qui ont celui là, le saviez-vous?). C’est que le cheddar coûte moins cher voyez-vous…

Mais moi je préfère le suisse. Et si je préfère le suisse, je dois le demander sinon j’obtiens du cheddar. L’affaire c’est que j’y ai juste pas pensé. J’aurais apprécié qu’elle me le demande, j’aurais apprécié parce que ça aurait démontré une attention au service à la clientèle. Ça me semble la base de son travail, être à l’écoute de sa clientèle. Elle se mériterait peut-être de meilleurs tip. Mais son patron, il ne veut pas. Et faut pas trop leur en demander… la majorité c’est des étudiants qui ne resteront pas là pour faire une carrière dans le service à la clientèle.

Mais ce raisonnement, parce que le suisse coûte plus cher, est complètement stupide, très capitaliste, et délibérément anti-service à la clientèle. C’est un manque de respect flagrant envers le client. Si mon sous-marin n’avait pas été grillé, je lui aurait demandé de le recommencer. J’ai préféré dire “Tu aurais dû me le demander, j’aurais préféré le suisse”.

Si le client doit spécifiquement demander le fromage suisse chez Subway… mais que le client ne sait pas qu’il y en a parce qu’on lui dit pas, ou encore n’y pense pas… Et bien moi alors, je pense que je n’en prendrai plus… parce que si personne n’en prend, il va rester là longtemps le putain de fromage… et ça ne me tente pas d’être malade.

Alors faites-moi plaisir. La prochaine fois que vous irez au Subway, laissez-les vous mettre du cheddar. Puis faite lui recommencer et dites leur qu’ils devraient vous le demander. Ne vous gênez pas pour être baveux à votre guise. En bout de ligne, ça les fera chier, et ça arrivera aux oreilles du proprio comme quoi les clients sont insatisfait de cette méthode à l’apparence très banale.

Autre truc idiot
Les McDo qui chargent 1$ pour avoir le Journal de Mourial. Sous prétexte qu’ils se les faisaient voler. Le nôtre a déjà fait ça mais ils ont arrêté parce c’était chiant et trop d’ouvrage. Imaginez ça au milieu d’un rush de dîner. Redonner la piasse à quelqu’un, c’est gossant en criss.<

Et c’est gossant pour la personne qui veux ravoir sa piasse. Attendre en ligne pendant des heures, ou passer  devant tout le monde (ou te frayer un chemin), te faire regarder croche évidemment et ensuite attendre qu’un commis trop occupé finisse par te voir.

Mais y’a plus con… c’est quand je vois le rack de Journal de Mourial GRATOS chez PFK. Gratos comme dans “Vous pouvez partir avec, on vous le donne”…

Un petit retour au Subway
Encore une pique, mais sur les serveuses de Subway directement. Lorsque je prend un 12 pouces là… j’espère avoir une répartition uniforme de mes ingrédients. C’est à dire assez pour que dans chacunes de mes bouchées que je prend, ça goûte pas mal tous les ingrédients que j’ai choisi.

DONC. Quand je demande des piments forts là… j’en veux pas 4. J’ai peut-être une grande gueule, mais je ne mange tout de même pas un 12 pouces en 4 bouchées.

Je le sais que c’est fort, je n’en demanderais pas si je n’en voulais pas. Ce n’est pas parce que c’est fort que j’en veux de façon “non proportionnelle” à mon sandwich. On dirait que parce que c’est fort, y’en mette moins. Un genre de réflexe d’idiotie.

Bon… je crois que c’est pas mal tout, jusqu’à la prochaine fois. Attendez que je m’attaque au Kentucky.

Partager