Deux choses
J’aimerais aborder 2 sujets.
Premièrement
J’ai pris une marche cette nuit. La voiture de Lucy est au garage, et je lui ai offert la mienne en attendant. Je suis allé lui porter ma voiture vers minuit ce soir. Je l’ai laissé devant chez elle, puis je me suis habillé chaudement, et je suis parti à pied, écouteurs dans les oreilles…
Vers 12h30, je passe devant le Bureau de Poste… À l’intérieur, lumières toutes allumées. Est-ce qu’il y a des gens qui travaillent au Bureau de Poste la nuit? Peut-être que oui… Mais en fait, ce n’est pas uniquement le Bureau de Poste dont il est question. Très souvent, je vois des lumières allumés dans des commerces, des restos, des places publiques, multiples endroits où il ne reste absolument personne au milieu de la nuit… Pourquoi ce gaspillage d’électricité? J’espère qu’ils ont des ampoules éco…
Deuxièmement
Je vous invite (encore) à lire le blog de Paul-Henri Frenière, particulièrement celui-ci où Paul-Henri critique Daniel Laprès au sujet d’un article parue dans La Presse… M. Laprès a eu vent du blog de Paul-Henri, et s’est empressé de venir y répondre par des commentaires que je qualifierais ma foi, par leur exhaustivité et leur vocabulaire, d’assez ampouliste (ampouler: boursouffler, gonfler, enfler, bouffir). Je serai humble. J’ai beau bloguer depuis plus de 5 ans (soit un tiers de la longévité de l’internet), je n’en suis évidemment pas pour autant le plus grand des écrivains. Je ne suis pas l’élite, et surtout pas en matière politique et historique. Alors il serait difficile pour moi de me prononcer sur les échanges entre Paul-Henri Frenière et Daniel Laprès, échanges qui ont été tenus plutôt à sens unique si l’on se fit au compte de mots (PH:117 vs DL:2163)…
Je ne peux même pas dire objectivement qui des deux sort gagnant du discours. Les interventions de Paul-Henri étaient courtes et laissaient paraître à mon avis un amusement passif face à l’entrin verbal de Daniel Laprès. Je n’y voyais que peu de propos destinés à alimenter la discussion. Peut-être est-ce la sagesse du combattant qui sait conserver ses forces pour les vraies batailles… On assiste donc à un M. Laprès qui gesticule habilement sur son clavier, peut-être en quête d’attention et/ou de lectorat… Et on constate un M. Frenière passif, comme un vieux chat non-impressionné par le pointeur-laser que l’on active frénétiquement en vain devant lui…
Un célèbre amateur de buffet chinois (dont le nom m’échappe), a dit un jour:
“Affamé est l’homme n’ayant qu’une seule baguette.”