It’s that time again…

Spa & Daiquiri
Il fait chaud, c’est pas croyable. On crève, on s’use à suer et l’humidité nous frise… Alors sûrement que vous allez me trouver bizarre si je vous suggère d’aller prendre un spa. Bizarre oui, mais pas tant que ça. Y’a rien de mieux que de se tremper dans une eau très chaude pendant 15-20 minutes pour ensuite en ressortir. La température devient alors plus supportable. Et vous voulez un spa particulier à St-Hyacinthe? Allez faire un tour au Monkey. Oui, vous avez bien lu, au bar le Monkey Night Club. Il y a quelques semaines, ils faisaient tirer un spa. Le gagnant a proposé de laisser le bain chaud à l’intérieur du bar. Résultat: un spa dans un bar, avec plafond peint au air-brush, black-light et en prime un écran géant tout près… concept, concept! Après avoir passé par dessus mon complexe de bédaine-trentaine, j’en ai profité à 2 reprises, et d’autres à venir. Maintenant, si ils nous concoctaient de délicieux Daiquiri comme j’ai eu la chance de déguster pour la toute première fois de ma vie au Zaricot, le Monkey Night-Club deviendrait le Monkey Paradise-Club.

Il ne resterait qu’à ajouter un pan de mur Human Locator par Freeset…

Ça fait du bien de ventiler de temps à autre…
J’en ai raz-le-bol des jeunes ados qui se croient hot dans leurs voitures montées, carburant au système de son, faisant crier leurs pneus aux lumières, accélérant à la moindre occasion pour démontrer leur hotness. Je les imagine à 30-40 en train de faire ça pour impressionner les filles… Ça c’est si ils s’y rendent sans pogner un accident.

J’en ai raz-le-bol des gens, de tous âges cette fois, qui ne respectent pas les lignes d’arrêt aux lumières. Hey les caves, c’est là pour une raison! Quand une van essayera de tourner devant vous et que, pour y arriver, elle devra vous rouler dessus, vous allez peut-être comprendre! Souhaitons que ce soit une voiture montée pour faire d’une pierre deux coups…

Chu aussi tanné des bécyk à gaz, parce que si moi j’avais des gaz bruyants comme ça, je ne sortirais pas de chez nous avant que ça passe. Y’a pas une loi qui réglemente le niveau de bruit des moto? Genre 0 décibels, ce serait parfait.

Chu tanné des hurluberlus qui ne se rendent pas compte que leur clignotant clignote allégrement depuis 5 km pi quand ils finissent par tourner, ils tournent de l’autre bord…

Chu tanné des vélos qui empruntent le mauvais côté du pont Bourdages.

Et j’ai encore et toujours au plus profond de mon arrière-train ceux qui se stationnent dans des places réservés aux handicapés, en particulier ce mi-trentaine, dans sa BMW massive, qui s’en va chercher un snack au IGA à 10h le soir en traversant le stationnement en entier à une vitesse folle (pour un stationnement).. pi yé même pas foutu de se stationner drette en plus…

Ce moment de défoulement vous a été présenté
par les calmants anals du Parti Libéral.
Quand ça vous fait chier, pensez à nous.

Une image vaut mille maux
Parlons-en justement du Parti Libéral… Après le bordel du budget cette semaine, je dirais bien que notre gouvernement minoritari-minus est à sa place ici: dans le champ et cherchant à faire du foin. De mémoire, une amende de 250$ est de mise lorsqu’une pancarte électorale est encore présente après 2 semaines des élections…

Mais j’ai une excellente idée. Dans ce cas-ci, il faudrait émmettre une amende supplémentaire à chaque semaine, sans dévoiler l’endroit où se trouve cette pancarte. Laissons les faire leur chasse au trésor, c’est leur responsabilité après tout. Lorsqu’elle sera retrouvée, on pourrait donner le montant excédant le 250$ à un organisme local. Je ne vous dit pas où j’ai trouvé cette belle pièce, parce que je veux voir combien de temps elle y restera. Mais laissez-moi vous dire qu’elle est située près d’une route très passante. Et au moment de publier ces lignes, elle y était encore.

 

Graffiti Vs Art
Si vous marchez régulièrement dans le bas de la ville, vous avez immanquablement vu la présence de multiples graffitis ça et là. D’aucun rehausse le paysage, et malgré que j’admire quelque fois les choix d’emplacement, ça m’écoeure de voir le manque de respect accordé à notre l’environnement urbain. Et ça m’écoeure aussi que notre belle police ne semble pas lever le p’tit doigt pour y mettre fin. La majorité des graffiti qui nous interpellent son des tag, des signatures stylisées, identifiant son créateur. Pryse en est un, Blaze450 en est un autre. Je me suis récemment acharné à répertorier Blaze450. Il est partout, et va même jusqu’en haut de la ville…

Ci-bas, je vous présente une murale qui a été récemment painte par des gens du Trait-d’Union tout le long de la décente de la rue Bourdages, qui mène vers la piste cyclable et la Promenade sur le bord de la Yamaska. Une suberbe initiative qui devrait être reprise à bien des endroits du Centre-Ville… et j’en fais une autre prédiction (en passant, j’ai vu juste par 2 fois avec le Body Toner): il ne faudra pas grand temps pour y voir un graffiti, fort possiblement le tag de Blaze.

Ok, mais juste pour cette fois
Je vous le dit et je vous le répète… je n’aime pas me faire appeler Sébas. Mais bon… dans certains cas très particuliers, je peux bien faire une petite exception…

Illogique
Lu dans le Journal de Mourial: “Parce que 3 enfants s’y sont noyés dans les dernières années, le gouvernement du Québec songe à bannir la vente et l’achat des piscines gonflables“… Ai-je vraiment besoin d’élaborer sur le sujet? Avant les piscines gonflables, il va falloir bannir les voitures en général, bannir la déshydratation, bannir le sommeil sur le ventre, bannir l’accès à l’Hôpital Honoré-Mercier, bannir les viaducs, bannir les traverses de train, bannir la conduite de BMX sans casque, bannir… En passant, chaque année je fais des paris pour savoir à quelle date on verra en première page du Journal de Mourial la mort d’un enfant par noyade. J’y vais avec la semaine suivant la St-Jean-Baptiste…

Et pour terminer différemment…
Je trouve que mon blog est trop texte, pas assez de photos… alors voici, voilà, voyez (© Pascal Guertin)

Selon Do, une rare photo d’elle en jeu…

Vous ne me croirez pas, mais je lui avais demandé de sourire.