Introduction
Si vous êtes branché sur tout ce que je fais, tout ce que je dis et tout ce que j’écris, alors peut-être avez-vous eu vent, au courant des dernières semaines, de ceprojet de parc… Si vous avez mieux à faire que de grimper au 4e étage de mon immeuble pour m’épier par la fenêtre, alors il est possible que vous ne soyez pas encore au courant.. Mais que vous soyez dans l’une ou l’autre situation, ce blog est pour vous tous. En fait, c’est une série de blogs qui vous attend chers amis lecteurs.

Je vais écrire une série de blogs qui aborderont en détails l’historique de l’un des projets les plus ambitieux que j’ai entrepris… cette année. Et si je calcule bien mes écrits, la fin de ma série de blogs devrait coïncider avec l’arrivée d’une prochaine étape importante. Mais tout d’abord… un peu d’histoire:

Tout d’abord, les deux terrains
Au Centre-Ville de St-Hyacinthe, devant le Marché-Centre, coin Des Cascades et St-Denis, il y a présentement 2 grands terrains vacants, et vacants ils sont depuis fort longtemps. Le premier de ces deux terrains est situé sur le coin et est devenu vacant suite à un violent incendie dans la nuit du 23 au 24 décembre 1996, voilà plus de 11 ans. L’immeuble avait été rasé pour faire place à un petit stationnement d’une douzaine de voitures. Il n’a jamais été aménagé depuis…

Pour ce qui est du deuxième terrain, il fût rasé suite à un autre incendie survenu dans l’immeuble le 1er janvier 2002. Et, fait curieux à noter, ce même immeuble avait été la proie des flammes en 1968. Et tant qu’on reste dans le curieux, peut-être que les plus vieux d’entre vous se rappelleront que ce coin fût la proie des flammes en 1876 alors que 300 maisons furent détruites par un incendie criminel. (Source: Le Courrier)

Donc, depuis le début 2002, nous avons non pas 1 terrain mais bien 2 grands terrains vacants. Vacants, gris, mornes, rocailleux, poussiéreux, parsemés de mauvaises herbes et je ne fais pas de mauvaise allusion à Jeannot ici. Le seul effort d’esthétisme fût éventuellement l’initiative d’une commerçante du Centre-Ville, Sharon Wild. Le deuxième terrain fût clôturé de planches et la tattoueuse s’est allégrement fait aller le “airbrush” pour y peindre une fresque sur toute la longueur des planches…

Surveillez le prochain blog pour la suite…